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Bombardement de fleurs sur le patin : c'est ainsi que ces militants répandent des graines sauvages pour rendre San Francisco plus fleurie

San Francisco est une icône pour ses espaces verts, mais même cette ville animée a des zones complètement abandonnées et des trottoirs oubliés. Shalaco et Phoenix McGee ont décidé de prendre les choses en main en répandant des graines de fleurs sauvages indigènes de Californie partout où ils vont. Sur un skateboard

Ils sont un peu bizarres, avec ces costumes en fourrure les abeilles des géants et des lunettes passe-partout. Mais il y a une raison s'ils sont habillés ainsi : la ville et le monde entier en ont besoin, à commencer précisément par le insectes pollinisateurs.

Ils sont Phénix Et Shalaco McGee et leur forte passion pour la flore et la faune de toutes sortes, mais surtout pour les fleurs sauvages indigènes de Californie, s'est rapidement transformée en une véritable mission, un compte TikTok populaire avec plus de 340 000 et une gamme de mélanges de graines de fleurs sauvages. Et les journées dédiées au jardinage guérilla.

Voulez-vous aider les insectes pollinisateurs? Plantez aussi des tournesols dans votre jardin !

Sur @SFinBloom, les deux « guérilleros jardiniers » extravagants racontent leurs aventures et leur «bombardement de fleurs», dans lequel ils répandent des graines de fleurs sauvages avec un shaker de parmesan dans tout San Francisco à pied ou sur des planches à roulettes, tout en donnant des conseils de jardinage.

Nous avons réussi à démocratiser considérablement le jardinage – dit Shalaco, qui se définit comme un « fils des parcs nationaux ». Et de sortir le jardin du piédestal et de le rendre accessible aux gens.

Grâce à leur présence sur les réseaux sociaux, les deux hommes espèrent inciter les gens à penser globalement mais à agir localement en matière d'environnementalisme.

Nous le considérons comme une passerelle vers la conservation volontaire, la fierté civique et le devoir civique, a déclaré Shalaco.

Sans aucun doute, une expérience à partager : nous pourrions nous aussi prendre en main l’embellissement de nos villes. Vous ne le pensez pas ?

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