Des incitations pour les énergies renouvelables à l’éolien offshore, voici ce que prévoit le décret législatif sur l’énergie qui vient d’être approuvé par la Chambre.
La Chambre a donné son feu vert au DL pour transformer le décret sur la sécurité énergétique en loi. Le texte passera au Sénat la semaine prochaine
Du développement de nouvelles centrales à partir de sources renouvelables au doublement du financement du Fonds pour la transition énergétique du secteur industriel : la Chambre des députés vient d’approuver le décret Energie, par un vote final de 143 oui, contre 84 non et 13 abstentions. La Chambre, hier soir, avait déjà approuvé la confiance placée par le Gouvernement dans le décret et maintenant le le texte passe au Sénat pour la deuxième lecture.
Il s’agit du décret législatif 181/2023 – Sécurité énergétique, sources renouvelables et reconstruction des zones inondées, une disposition qui contient, entre autres, des mesures visant à arrêter la contribution payée par les propriétaires d’installations pour la production d’électricité à partir de sources renouvelables; l’extension à l’ensemble du territoire national de la possibilité d’identifier des ports où construire des plates-formes flottantes pour le développement de l’énergie éolienne et le thème du stockage national des déchets radioactifs.
Communautés d’énergies renouvelables : le décret entre en vigueur aujourd’hui, voici ce qu’il prévoit (des incitations aux FAQ sur l’autoconsommation généralisée)
Certaines des mesures prévues par le décret législatif sur l’énergie
Renouvelable
- Le texte le prévoit arrêter la contribution annuelle de 10 euros/kW payée par les propriétaires de centrales de production d’électricité à partir de sources renouvelables d’une puissance supérieure à 20 kW.
- Par ailleurs, des mesures sont prévues pour accélérer les investissements et l’autoproduction dans le secteur des énergies renouvelables («jusqu’au 31 décembre 2030 – en cas de demandes concurrentes multiples de concession d’un même espace public, les organismes concernés doivent privilégier – aux fins d’identification du concessionnaire – les projets de centrales photovoltaïques ou éoliennes visant à satisfaire les besoins énergétiques des les soi-disant sociétés Électivore« )
- En outre, l’article 9 contient des mesures simplification pour la construction de centrales à partir de sources renouvelables. En particulier, l’extension de l’efficacité des simplifications concernant l’évaluation de l’impact environnemental sur les installations de production d’énergie renouvelable et de stockage déjà envisagée est autorisée et les seuils de puissance dépassés respectivement sont augmentés de 20 à 25 MW et de 10 à 12 MW comme les systèmes photovoltaïques situés dans des zones appropriées ou d’autres zones spécifiques sont soumis à une EIE ou à une vérification de l’éligibilité à l’EIE
- Enfin, il arrive le seuil de puissance a été relevé de 10 à 12 MW en vertu duquel les systèmes photovoltaïques sont soumis à une procédure d’autorisation simplifiée, plutôt qu’à une autorisation unique et, enfin, permet le lancement de procédures d’autorisation unique pour les systèmes à sources renouvelables même en l’absence de l’avis du gestionnaire du réseau de conformité technique sur les solutions de conception de les systèmes de réseau pour la connexion, en tout cas à acquérir au cours de la procédure.
Éolien offshore
L’article 8 du décret législatif sur l’énergie introduit également l’identification, dans au moins deux ports du sud de l’Italie (« sous réserve de l’acquisition de manifestations d’intérêt présentées par les autorités portuaires“), des zones maritimes appartenant à l’État (y compris les zones adjacentes à celles de “suppression progressive” du charbon) qui sera affecté à la création d’un pôle stratégique national dans le secteur de la conception, de la production et de l’assemblage de plates-formes flottantes et infrastructures électriques fonctionnelles au développement de la construction navale pour la production d’énergie éolienne en mer.
Condenseurs à air
L’article 6 prévoit que, dans les centrales thermoélectriques d’une puissance thermique supérieure à 300 MW, des systèmes de condensation par air ou des systèmes de refroidissement du fluide du circuit de condensation sont créés dans des systèmes déjà équipés de systèmes de refroidissement par eau qui n’entraînent pas d’augmentation de la puissance électrique et qu’il se produit sur les surfaces des centrales électriques existantes.
Le pôle des déchets nucléaires
Sogin sera autorisé à reconsidérer toute auto-nomination pour le dépôt national de déchets nucléaires des municipalités non présentes dans la charte nationale qui identifie les zones appropriées, « en tenant compte des contraintes territoriales devenues caduques ou substantiellement modifiées» ou pour des raisons techniques qui peuvent être surmontées par des modifications adéquates du projet de parc technologique, étroitement lié au dépôt.
Personne ne veut de déchets nucléaires : une seule commune postule au Dépôt national des déchets
Les pouvoirs du commissaire unique aux eaux urbaines résiduaires seront renforcés, qui aura la possibilité d’opérer en dérogation à toute loi autre que le droit pénal.
Contrats énergétiques
Dans un délai de trois mois à compter du transfert des points de livraison des clients finals vers le service de protection progressive, les opérateurs de plus grande protection doivent fournir à Arera le rapport des coûts engagés et non récupérables à partir du 1er avril 2023 : l’Autorité doit établir, dans un délai de 90 jours à compter de la loi de conversion, les modalités et modalités d’envoi du rapport. Et ces coûts incluent également ceux liés aux travailleurs des centres d’appels.
Centre d’appels
Ceux qui travaillent dans la gestion des activités de la plus grande protection de l’électricité seront stabilisés avec la couverture de « coûts directement attribuables au service et non récupérables».